Sabrina Medje"beur", la continuation de l’outrance et de la bêtise.
Sabrina Medje"beur", la continuation de l’outrance et de la bêtise.
À nouveau cette femme fait parler d'elle et s’est autorisé à m'attaquer sur les réseaux sociaux. Elle, qui se présente comme “sociologue” sur le papier, alors que dans les faits rien ne permet de l’affirmer, ni le discours, ni les analyses produites sur C news, ni même le vocabulaire faussement soutenu. N'est pas Bourdieu qui veut !
D’où sort cette énergumène ?
Et pourquoi une telle fixation sur ma personne ?
Pour rappel, j'ai eu l'occasion de la rencontrer une seule et malheureuse fois, le 18 octobre 2023 sur le plateau de Morandini live, dans un débat qui opposait quatre participants, et dans lequel elle s'était imaginée être seule face à moi.
Bouffie d'orgueil avec un ego surdimensionné, expliquant qu'elle s'exprimait dans un “français parfait” qui frise très souvent le ridicule, avec un vocabulaire mal maîtrisé et une volonté d'afficher des mots de plus de 3 syllabes, là encore de manière impropre, cette femme a de quoi interroger sur son parcours et sa situation sociale.
Dans un poste sur X, elle va même jusqu'à inventer un mot qui n’existe pas “délinquentiel” (j’ai vérifié jusqu’au site de l’académie française), un classique chez elle, dans une réponse agressive contre un député LFI. À force de chercher des synonymes à des mots évidents, elle en devient ridicule. "Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement" disait Nicolas Boileau.
Notre sociologue de comptoir, s'évertue systématiquement à attaquer les gens de son origine, en faisant des raccourcis faciles et stigmatisants, entre les problèmes de délinquance mineure, l'islamisme politique et le terrorisme.
Une "tchoutchouka" que seul son cerveau fertile en imagination peut produire ! Dans un exercice d'escrime, pseudo intellectuel toujours, elle s'épuise à tout mélanger mais surtout, à essentialiser une communauté, perçue comme étrangère aux yeux de cette fanatique du racialisme et du dogmatisme.
Issue elle-même de l'immigration algérienne, on l’aura bien compris, elle se projette comme si elle était une pointure intellectuelle, à la grosse face de canasson, au regard vide, cerclé par des oreilles de Babar, mâtinée d'un bronzage soutenu, lui aussi artificiellement provoqué par des UV, qu'elle doit sans doute payer à la semaine ; un corps de mannequin à l'UNICEF, un sourire que personne n’a jamais vu et une chevelure torturée au lissage brésilien, dans le but de dissimuler sa vraie nature africaine et berbère. Le tout drapé dans une posture de professeur des écoles maternelles, qui voudrait séduire par un vocabulaire pseudo savant,
En somme, un concentré de complexes qu'elle s’évertue à faire basculer en rapport de supériorité, qui là encore, cache difficilement une obsession d'exister sur la petite lucarne.
Je sais, c'est une mauvaise habitude de me moquer de l'intellect et du physique d'une personne pour laquelle je n'ai aucune sympathie, mais en même temps ce n'est pas la première que je taquine des extrémistes de la sorte puisque, Hicham Hamza et d'autres, ont connu le même sort.
Cette mise au point évitera à notre intellectuelle du dimanche, de jouer la carte de la victime d'une misogynie qui m’est complètement étrangère.
Notre “chère dame”, dont on ne sait pas, pour le coup, réellement quelle est son activité professionnelle, prétendait donner des cours d'éloquence dans une société EFSCI (Ecole Française Supérieure de Conseil en Image) établie dans le 16è arrondissement de Paris, au capital microscopique de 100 €, qui a fini par être liquidée le 03 janvier 2023, aussi rapidement qu'elle a été créée le 16 février 2021. Cours aussi superficiels que l’image qu’elle renvoie, de fashion victime.
Aujourd'hui, elle s’est mise à disposition de C news, dans un rôle qui sera bientôt perçu comme problématique, par la direction de la chaîne et qui ne correspond évidemment pas à la volonté de diversification des idées, préconisée par l'audition parlementaire, qu’a dû subir le staff de la première chaîne d’information
Pour faire simple, elle s'est trompée de chapelle et il y a fort à parier que le siège sur lequel elle est assise aujourd’hui soit accompagné d'un bouton rouge éjectable. Eh oui, les temps changent et son discours violent à la frontière du racisme, ne sera bientôt plus tendance dans les médias.
Quoi qu'il en soit, madame Mdeje"beur" s'est permise de faire un commentaire sur le mur d'une personne : karim Laloum, à qui j'ai porté la contradiction sur Beur FM, le jeudi 14 mars 2024, dans l'émission de débat de Adile Farquane “les zinformés”, au cours de laquelle nous avions bataillé sur la question du conflit en Palestine.
Manifestement Sabrina Medje”beurre”, fan d'un personnage, qui lui aussi est outrancier, caricatural et surtout ridicule, finit par nous expliquer, en direct sur les ondes, que si on n'était pas d'accord avec lui, de fait on se rendait complice des terroristes. Les grands esprits se rencontrent dans le simplisme. Là encore un discours à la George Bush, le bien et la lumière contre le mal et l’obscurantisme.
Dans le but de lui apporter un soutien, qu'elle croit être fort, notre professeur en image, affabule et dit que je serai quelqu'un de menaçant. On n'est pas à un mensonge près avec cette femme, et la posture victimaire, c'est une chose que manifestement elle semble adorer.
Un autre signe de son propos destiné à défendre le nouveau Chalghoumi : Karim Laloum. Elle le flatte, lui déclarant qu'il est plus intelligent que moi, ce qui est toujours très fendard, mais surtout que “la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe”. Toujours ce complexe à vouloir se draper dans la “blanchitude”, particulièrement lorsque l’on a deux maghrébins face à face, plus amusant encore de parler d'intelligence, devant deux personnes très limitées avec des esprits dogmatiques et fermés.
Je n’avais pas conscience de parler à Einstein !
A l’évidence la lumière vient de Medje"beur", “ci vriment lougique” Karim.
Une série de signalement a été faite à l'endroit de cette excitée du bulbe, sur des propos ouvertement racistes, essentialisants et surtout caricaturaux vis-à-vis de personnes dont elle ne sait absolument rien.
Je l'ai dit pour commencer, son diplôme de sociologie, qu'elle n’a certainement pas présenté à C news, semble être une fabrication de son esprit très inventif. A nouveau dans une autre de ses dernières sorties, notre “sociologue”, s'improvise anthropologue, (et oui, chez elle l'ambition n'a pas de limites ; même sans les diplômes, puisqu'il faut être docteur pour parler d’anthropologie mais passons), interroge sur la qualité réelle de son intellect je ne suis pas convaincu qu'avec un Master 2 de sociologie, on puisse aligner autant de clichés de comptoir, dignes du dernier des poivrons aviné, incapable du moindre recul sur des faits, déformés par une perception de beauf.
Un ami, réellement sociologue lui, et chercheur au CNRS, m’a récemment contacté pour me faire part de ses doutes quant à la réalité du statut de Madame Medje"beur". Il me disait qu’une sociologue digne de ce nom, dans la présentation des faits, se bornerait à les établir sans prendre parti, un principe simple de démarche scientifique.
Madame Medje"beur" pense qu'elle peut distiller des paroles ouvertement racistes, prétextant que son origine algérienne l’y autorise. C’est douteux et fâcheux.
L'obsession du buzz avec un manque de dignité évident, ne quitte jamais son esprit étriqué. Personne ne lui a jamais expliqué, que l'on respecte plus un adversaire digne, qu'un contradicteur sans honneur ?
Oser dire qu'à La Courneuve, “l'anthropologie clanique de ces enclaves quasi étrangères, (...) en termes de respectabilité, ou vous êtes un dealer où vous êtes un salafiste”. Il faut comprendre que chez cette “analyste” qui n'a jamais mis les pieds dans un quartier que vous avez le choix pour être quelqu’un entre la vente de drogue ou la consommation de Coran. Tordre à ce point la réalité, relève du roman de gare. Deux clichés éculés et toujours aussi ridicules détachés du réel, qui témoignent de son niveau abyssal de médiocrité en matière de sociologie. Une chose est certaine, notre génie de la sociologie n’a rien à envier aux pires discours d’extrême droite. Bien évidement ce tableau noir est totalement délirant et ne dit rien de la réalité quotidienne de l’immense majorité des citoyens des quartiers, qui sont d’honnêtes travailleurs, consciencieux et créateurs de richesse, contrairement à Madame Medje”beur”. Mais pour le savoir, il faut y vivre un peu...
On est évidemment très loin d'une analyse sociologique sérieuse et objective, mais plus proche d'un discours Frontiste ou Zemmourien. Ce qui caractérise son expression c'est le fait de systématiquement dire " pardon" pour ponctuer ses phrases, une façon à elle de faire passer un propos dérangeant, en utilisant un terme de transition qui adoucirait la virulence de ses paroles. “Pardon mais.... “ un réflexe conditionné que l’on retrouve de plus en plus dans le monde médiatique.
Dans une autre de ses sorties toujours sur C news, elle dit que "Marseille est la première ville algérienne de France, évidemment qu'il y a un lien de causalité avec tous ces phénomènes de violence et l'immigration ça c'est une certitude". L’algérienne honteuse a exprimé ses complexes d’assimilée.
C'est le Front National (Rassemblement National) qui va être content !
Que Madame Medje"beur" cherche à faire carrière en voulant prendre une place, qui semble être laissée vacante par d'autres jeunes filles de l'immigration depuis oubliées comme Fadela Amara Sihem Habchi ou encore Jeannette Bougrab, est une chose, mais qu'elle commence à utiliser un vocabulaire clairement d'extrême droite, au motif qu'elle serait d'origine algérienne, comme Éric Zemmour, me paraît plus que douteux.
Quoi qu'il en soit la “promotion par le crachat” sans compétence, expérience et sens critique structuré ne lui permettra pas d'aller bien loin !
Je comprends aussi que lorsque l’on est hyper complexé, dans une société malheureusement restée encore trop souvent patriarcale, je parle de la France, où le physique est déterminant pour réussir à la télévision, ce dont elle ne dispose pas ou le complexe de la Provinciale de Toulon qui monte à Paris semble ne l’avoir jamais quitté, mais surtout que le marqueur identitaire chez elle, en dépit de tous les artifices grossier qu'elle utilise pour le cacher, reste largement problématique pour certains, et la pousse à des outrances qui deviennent intolérables et qui tombent sous le coup de la loi.
Non madame Medje"beur" rien ne vous autorise à mentir, manipuler, tordre la vérité, à caractériser une population entière, au motif que vous la connaîtriez, personnellement dans votre sang, plus encore, à dépasser des bornes, que même le Front national aujourd'hui ne devrait pas envisager.
Qu'elle soit médiocre intellectuellement, bien que tentant de séduire avec des mots de plus de trois syllabes, qu'elle soit complexée par sa naissance en province et son origine étrangère ou encore par un physique qu’elle n’a sans doute pas accepté ni choisi, cela on peut le comprendre, en revanche la méchanceté, le mensonge, la fourberie, la manipulation et l'obséquiosité, vis-à-vis des décideurs et programmateurs de la télévision, lui retirent toute crédibilité et surtout, toute dignité.
Marouane Mohamed, sociologue, diplômé lui ; développe comme n'importe quel universitaire, un discours objectif, structuré et analytique avec des conclusions très éloignées des dérapages permanents qu'on peut observer avec Sabrina Medjebeur, la SM de la banlieue.
J'inviterai les médias à l'avenir, dans le choix de leurs chroniqueurs, à vérifier le parcours intellectuel militant et universitaire des personnes qu'ils exposent sur leurs plateaux.
Avec la nécessité impérieuse, pour la chaîne C news d'ouvrir les plateaux à un discours qui garantit le pluralisme des médias, en d'autres termes la diversité d'opinion, madame Medj"beur" est clairement disqualifiée pour cela.
Multipliant à l'envie les tournures de style alambiquées des concepts fumeux appris dans le bar du coin, caractéristiques d'une idéologie d'extrême droite, très peu réputée pour ses figures intellectuelles, les postures méprisantes et une posture de pseudo intello, Madame Medje”beur” reste une malheureuse caricature de déni de soi et de la honte de ses origines. L’outrance et l'agressivité ne garantissent pas un débat dépassionné. Mais qu’elle se rassure, je ne suis pas de son bord politique d’extrême-droite, et n’ai pas l’habitude d’agresser mes contradicteurs, je laisse cela aux bas de plafonds comme elle.
En même temps, ce n'est pas l'extrême droite qui a apporté les meilleurs intellectuels du siècle dernier, il suffit de lire Alfred Rosenberg pour s’en rendre compte, lui aussi et porté par le Mythe du 20eme siècle.
A bon entendeur, Medje”beur”, je ne vous salue pas. Je ne suis pas écrivain, mais je m’amuse bien.